Rainless July

Chapitre IV : Entre ce qui était et ce qui sera. Notre lève-tôt se retrouve près du célèbre ancien bâtiment du cinéma Rossiya, où les ombres des décennies semblent s'accrocher à ses murs. La chaleur de juillet s'impose, un jour sans pluie, un ciel sans soulagement. Son esprit erre, partagé en deux : "Depuis des jours, tu te réveilles et te trouves divisé. Une moitié encore ici—coincée dans les derniers jours de juillet, 1982—à moitié endormie, à moitié éveillée, ne comprenant ni le repos ni le lever. Le sang s'amincit comme de l'eau, les articulations s'affaiblissent, la bouche n'a aucun goût—la journée portée comme un fardeau de mule. Et l'autre moitié est loin—vingt-cinq ans plus tard, remplie de l'envie de faire un pas significatif un jour d'été. Pourtant, on ne peut trouver l'équilibre quand on n'est qu'à moitié entier." C'est le poids et la merveille de Juillet sans Pluie, le quatrième chapitre du voyage d'Hermitage Records—un paysage sonore de ce qui a été et de ce qui est encore à venir. Une journée sèche, agitée, prise entre nostalgie et anticipation. À l'intérieur, 10 kits de construction réalisés avec maîtrise, chacun portant la saveur inimitable de la musique rétro arménienne de l'époque soviétique, mais renaissant pour aujourd'hui. Attendez-vous à des pianos live, guitares, cordes, maillets et plus encore, imprégnés de chaleur analogique et conçus pour être découpés, échantillonnés, et transformés. Avec plus de 500 Mo de matériel originale, Juillet sans Pluie est à la fois si nouveau et si ancien—un compagnon parfait pour la musique hip hop, lofi, downtempo, et expérimentale. Hermitage Records : Un trésor national fraîchement restauré de la musique arménienne.